Le packaging des produits pharmaceutiques joue deux rôles : protection et information. Garant de la sécurité du patient, il se fait rempart de la contrefaçon et assistant dans l’usage du produit. Des rôles liés à la santé publique dont se mêlent des directives européennes, imposant aux fabricants de packaging de mettre en place des solutions répondant à ces deux besoins.
L’origine France n’est pas toujours mise en avant sur les packagings de produits vendus à l’étranger : la pratique varie selon les domaines. Dans le luxe, les grandes marques ne jouent pas sur les ressorts classiques français ; ils sont la France, ce sont eux qui portent le pays à l’étranger : la mention devient presque inutile.
Cependant, pour la majorité des autres entreprises qui exportent, deux problématiques se posent : quelle obligations d’inscriptions et comment se montrer français ? Si la première est résolue aisément grâce aux informations publiées par les différents gouvernements, la seconde mêle le savoir-faire combinés des experts du marketing et du packaging.
214,2 milliards de dollars, c’est le chiffre d’affaires généré par les 100 plus grandes sociétés mondiales du luxe pour l’année 2013, d’après l’étude du cabinet d’audit Deloitte publiée cette année. Ce secteur haut de gamme se porte bien et poursuit son développement dans un contexte économique tendu qui ne semble pas avoir de prise sur lui.
Rapprochement d’entreprises, coopétition, mise en relation par réseaux, le système économique tend à encourager le rassemblement des forces et compétences pour se pérenniser, se développer et s’imposer sur le plan international. Rester une entité à part entière en s’alliant pour gagner : un pari qui vaut d’être lancé.
La Maison des Industries des Papiers et Cartons, qui regroupe plus d’une dizaine d’organismes de l’Intersecteur Papier Carton, faisait le point, le 5 mars dernier, lors de sa conférence de presse annuelle, sur le bilan 2014 et les perspectives 2015 de la filière. À l’occasion de cette rencontre, le président, Marc Sanchez, annonçait la création du « Mouvement de l’Intersecteur Papier Carton » (MIP).
« Faire les courses ». Derrière cette expression, qui, à bien y réfléchir, ne veut pas dire grand-chose, se cache pourtant un potentiel d'achat plus ou moins conséquent selon le profil des clients. Même si, au départ, tous ont un objectif commun, à savoir acheter des denrées plus ou moins périssables, il est toujours étonnant de constater qu'une fois en caisse, les résultats sont parfois loin d'être les mêmes. Comment expliquer alors ces différences ? Et, surtout, comment anticiper la décision dans l'acte d'achat de ces clients ? Sondages, expériences et avis d'experts sont en mesure de nous donner quelques pistes...
Tout est question de stratégie. Nouveaux lancements, marchés de niche, investissements en outils de production, innovations, acquisitions et… export. L’emballage suit la tendance de ce marché qui fleure bon la croissance.
Sécurisé, connecté, nomade, fortement règlementé, le packaging pharmaceutique occupe une place prépondérante dans l’industrie de l’emballage mais il pèse également son poids, au sens économique du terme, sur le marché de la santé.
S’il fut l’objet de quelques réticences à ses débuts par crainte de piratage de codes bancaires ou de non-conformité de la marchandise vendue, le e-commerce poursuit une croissance fulgurante obligeant la filière packaging à repenser produits et stratégies de diffusion.
Qu’il soit gris, bois, pliant, laminé, contrecollé, bouilli, ondulé, une récente étude Ifop commandée par Smurfit Kappa France vise à prouver que le carton est apprécié pour ses qualités fonctionnelles, économiques, écologiques et pratiques.
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Le secteur de l’emballage demeure l’un des plus dynamiques de la chaîne graphique au niveau de l’impression, porté par une certaine stabilité de l’industrie agroalimentaire et son positionnement dans des secteurs, vecteurs de volume d’affaires, tels que le luxe, la cosmétique et la pharmacie.
